Anathème
de Véronique Fournier
Auto-édition - 258 pages - 14,00€
Quatrième de couverture : En demandant sa mutation dans la ville de son enfance, Julia Vernet, juge d’instruction, aspirait au calme et à un retour aux sources. Malheureusement pour elle, les événements vont s’enchaîner jusqu’à la faire sombrer dans un état proche de la folie. Une enquête criminelle compliquée, un amour fantasque, une future belle-famille qui a son lot de problèmes… Comment Julia arrivera-t-elle à reprendre pied ? Heureusement pour elle, son fidèle Jérôme sera à ses côtés pour la soutenir envers et contre tout. |
Pourquoi ce livre ?
J'ai "rencontré" l'auteure sur un réseau social et son univers me "parlait". Le titre de son second roman - Anathème - m'a également attirée.
Mon avis :
Si dès le début, ce roman a attisé ma curiosité, il m'a surtout déroutée. Alors que Julia, le personnage principal, a mis des années à obtenir sa mutation, une fois qu'elle s'installe à nouveau dans la ville de son enfance, tout se précipite, s'enchaîne, se superpose. J'aime beaucoup la plume de cet auteure qui a l'art de manier la langue française tout en la laissant simple et accessible à tous. Les descriptions sont empreintes d'une certaine poésie que je qualifierais de paisible. J'ai beaucoup apprécié ce roman que j'ai lu presque d'une traite et je me suis laissée entraînée dans la "folie" de Julia car il est parfois si bon de s'égarer hors des limites communément admises. Et si en plus cet "égarement" nous amène à changer nos certitudes... Peut-on dès lors considérer que l'on se soit égaré ?
J'ai "rencontré" l'auteure sur un réseau social et son univers me "parlait". Le titre de son second roman - Anathème - m'a également attirée.
Mon avis :
Si dès le début, ce roman a attisé ma curiosité, il m'a surtout déroutée. Alors que Julia, le personnage principal, a mis des années à obtenir sa mutation, une fois qu'elle s'installe à nouveau dans la ville de son enfance, tout se précipite, s'enchaîne, se superpose. J'aime beaucoup la plume de cet auteure qui a l'art de manier la langue française tout en la laissant simple et accessible à tous. Les descriptions sont empreintes d'une certaine poésie que je qualifierais de paisible. J'ai beaucoup apprécié ce roman que j'ai lu presque d'une traite et je me suis laissée entraînée dans la "folie" de Julia car il est parfois si bon de s'égarer hors des limites communément admises. Et si en plus cet "égarement" nous amène à changer nos certitudes... Peut-on dès lors considérer que l'on se soit égaré ?