Expiatis
de Alexandra Desnier
Eivlys Éditions - 204 pages - 10,00€
Quatrième de couverture : Brattleboro... Chris voudrait s'en défaire, laisser derrière lui cet endroit qui le détruit chaque jour un peu plus, qui le pille de son existence, lui extirpant son essence et son âme pour les déchiqueter sans pitié. Brattleboro... Riley n'aurait jamais voulu fouler à nouveau la terre souillée de cette ville funeste qu'elle ne peut oublier, mais lorsque le passé se rappelle à vous, c'est qu'il a ses raisons. Brattleboro... ton nom sonne comme un avertissement, une menace qui plane sur les coupables. Quelqu'un connaît les sombres secrets qui t'habitent et compte bien asséner sa sentence. Nulle échappatoire, chacun paiera son dû à qui de droit... Expier, c'est rendre son dernier souffle à tout ce qu'on a pris. |
Pourquoi ce livre ?
En quête de lecture "noire", le site de vente me propose celui-ci. J'aime la couverture, la quatrième m'attire un peu plus, la présentation de l'auteure m'achève : il faut que je lise ce livre.
Mon avis :
Dois-je vraiment vous dire de quoi parle ce livre ? Et si je vous laissais plutôt le loisir de le découvrir ? Le sujet central de ce roman est tout ce qu'il y a de plus réel, car oui, au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué, la nature humaine est douée d'une cruauté qu'aucune autre espèce vivante n'est capable d'infliger à ses semblables. Ce que décrit l'auteure est cohérent, c'est plus que certain. Mais...
L'intrigue tient la route et quant à lire des horreurs, je crois que je suis un peu vaccinée donc rien à dire de ce côté-là. Ce qui m'a gênée, par contre, c'est le style. Le rythme est rapide, les phrases et les chapitres sont courts, les dialogues simples voire simplistes, parfois même un brin répétitifs. Pas de suspens, on se doute très rapidement de l'issue des deux histoires qui s'entrecroisent et des noms des coupables. Un ballet de nombreux personnages, à peine évoqués, sans que leur psychologie - attrait de l'auteure - ne soit réellement creusée. Ce livre aurait vraiment pu être excellent, mais là, franchement, je suis restée sur ma faim. Parce que tant qu'à narrer du "gore", autant le faire avec moult détails et précisions.
En quête de lecture "noire", le site de vente me propose celui-ci. J'aime la couverture, la quatrième m'attire un peu plus, la présentation de l'auteure m'achève : il faut que je lise ce livre.
Mon avis :
Dois-je vraiment vous dire de quoi parle ce livre ? Et si je vous laissais plutôt le loisir de le découvrir ? Le sujet central de ce roman est tout ce qu'il y a de plus réel, car oui, au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué, la nature humaine est douée d'une cruauté qu'aucune autre espèce vivante n'est capable d'infliger à ses semblables. Ce que décrit l'auteure est cohérent, c'est plus que certain. Mais...
L'intrigue tient la route et quant à lire des horreurs, je crois que je suis un peu vaccinée donc rien à dire de ce côté-là. Ce qui m'a gênée, par contre, c'est le style. Le rythme est rapide, les phrases et les chapitres sont courts, les dialogues simples voire simplistes, parfois même un brin répétitifs. Pas de suspens, on se doute très rapidement de l'issue des deux histoires qui s'entrecroisent et des noms des coupables. Un ballet de nombreux personnages, à peine évoqués, sans que leur psychologie - attrait de l'auteure - ne soit réellement creusée. Ce livre aurait vraiment pu être excellent, mais là, franchement, je suis restée sur ma faim. Parce que tant qu'à narrer du "gore", autant le faire avec moult détails et précisions.