Les déferlantes
de Claudie Gallay
Éditions du Rouergue - 524 pages - 21,90€
Quatrième de couverture : La Hague... Ici on dit que le vent est parfois tellement fort qu'il arrache les ailes des papillons. Sur ce bout du monde en pointe du Cotentin vit une poignée d'hommes. C'est sur cette terre âpre que la narratrice est venue se réfugier depuis l'automne. Employée par le Centre ornithologique, elle arpente les landes, observe les falaises et leurs oiseaux migrateurs. La première fois qu'elle voit Lambert, c'est un jour de grande tempête. Sur la plage dévastée, la vieille Nan, que tout le monde craint et dit à moitié folle, croit reconnaître en lui le visage d'un certain Michel. D'autres, au village, ont pour lui des regards étranges. Comme Lili, au comptoir de son bar, ou son père, l'ancien gardien de phare. Une photo disparaît, de vieux jouets réapparaissent. L'histoire de Lambert intrigue la narratrice et l'homme l'attire. En veut-il à la mer ou bien aux hommes ? Dans les lamentations obsédantes du vent, chacun semble avoir quelque chose à taire. |
Pourquoi ce livre ?
Je l'ai découvert dans un magasine féminin à la page des nouveautés littéraires. Le titre m'a plu, la couverture aussi, cette idée d'un phare dans la tempête, un phare qui brave les éléments, les eaux émotionnelles peut-être. Lorsque j'ai lu le résumé, j'ai été conquise.
Mon avis :
Du pur bonheur ! Un roman intime et intimiste comme je les aime. Un peu de mystère, rien de tonitruant. Il peut se dire tant de choses dans le silence...
Je l'ai découvert dans un magasine féminin à la page des nouveautés littéraires. Le titre m'a plu, la couverture aussi, cette idée d'un phare dans la tempête, un phare qui brave les éléments, les eaux émotionnelles peut-être. Lorsque j'ai lu le résumé, j'ai été conquise.
Mon avis :
Du pur bonheur ! Un roman intime et intimiste comme je les aime. Un peu de mystère, rien de tonitruant. Il peut se dire tant de choses dans le silence...