Les p'tits poèmes-slams
Tome 2
de Mary Neil's
Éditions BoD - 136 pages - 17,50€
Quatrième de couverture : Drôle, Ironique, Satirique, Interpellant, Étrange. Des qualificatifs attribués à ces petits textes originaux, en prose rimée qui racontent tous une histoire avec des mots simples, imagés voire percutants pour passer un bon moment de lecture seul(e) ou en société amicale. Écriture moderne qui se prête à la scène privée. Un regard, un constat sur les phénomènes de société et la femme mésaventureuse. L'auteure se met en scène et "dérisionne" avec un HUMOUR décalé, quasiment tout ce qui se passe dans la vie. Une approche qui ne manque pas d'intérêt et faite pour divertir un maximum. Présentés sous forme de poème par esthétique, ces mini histoires sont dotées presque toutes d'une fausse moralité pour nous amuser... nous interpeller, réfléchir, constater, réagir. Sous la couette, aux toilettes, sur la banquette, en vacances, entre amis, en cadeau, ce livre est indémodable, se lit, se relit sans modération. |
Pourquoi ce livre ?
Parce qu'il m'a été proposé par son auteure.
Mon avis :
Autant vous l'avouer d'emblée : ma culture slam est nulle. J'ai bien entendu parler de Grand Corps Malade, je l'ai écouté déclamer un texte ou deux, mais à part ça, nada. Je cherche et découvre alors sur le net la définition du slam : "Poésie orale, urbaine, déclamée dans un lieu public, sur un rythme scandé" (merci le dictionnaire Larousse). Retrouve-t-on cela dans le recueil de Mary Neil's ? Oui, sans conteste. Il s'agit bien d'une forme de poésie abordant des sujets d'actualité et il y a du rythme. Certains textes peuvent en effet déranger ou paraître étranges à certaines personnes, mais ils peuvent aussi amener à une certaine forme de réflexion. Mais ne me faites pas dire non plus ce que je n'ai pas écrit : il n'est pas question de se prendre la tête en lisant ce recueil. Ce sont les vacances, restons légers, n'est-ce pas ? Il y a un peu de tout dans ce petit livre : des poèmes, mais aussi des morales (de celles qui terminent certaines fables) et des notes personnelles. Les textes sont tantôt tendres, tantôt plus engagés, parfois un brin sarcastiques, mais jamais méchants. J'ai presque eu la sensation de lire le journal intime de l'auteure qui n'est pas avare de détails et d'explications sur des expériences vécues, des personnes rencontrées, des relations partagées, mais aussi sur ses centres d'intérêts, ses propres questionnements, ses croyances, la vision qu'elle porte sur le monde. Mais je vous le répète et j'insiste : tout cela reste en mode léger !
Comme conseillé sur la couverture, vous pouvez lire ce recueil aux toilettes ou sur la banquette et je me permets de rajouter : en pédalo ou à dos de chameau. À vous de voir ! LOL (comme dirait Mary Neil's)
Parce qu'il m'a été proposé par son auteure.
Mon avis :
Autant vous l'avouer d'emblée : ma culture slam est nulle. J'ai bien entendu parler de Grand Corps Malade, je l'ai écouté déclamer un texte ou deux, mais à part ça, nada. Je cherche et découvre alors sur le net la définition du slam : "Poésie orale, urbaine, déclamée dans un lieu public, sur un rythme scandé" (merci le dictionnaire Larousse). Retrouve-t-on cela dans le recueil de Mary Neil's ? Oui, sans conteste. Il s'agit bien d'une forme de poésie abordant des sujets d'actualité et il y a du rythme. Certains textes peuvent en effet déranger ou paraître étranges à certaines personnes, mais ils peuvent aussi amener à une certaine forme de réflexion. Mais ne me faites pas dire non plus ce que je n'ai pas écrit : il n'est pas question de se prendre la tête en lisant ce recueil. Ce sont les vacances, restons légers, n'est-ce pas ? Il y a un peu de tout dans ce petit livre : des poèmes, mais aussi des morales (de celles qui terminent certaines fables) et des notes personnelles. Les textes sont tantôt tendres, tantôt plus engagés, parfois un brin sarcastiques, mais jamais méchants. J'ai presque eu la sensation de lire le journal intime de l'auteure qui n'est pas avare de détails et d'explications sur des expériences vécues, des personnes rencontrées, des relations partagées, mais aussi sur ses centres d'intérêts, ses propres questionnements, ses croyances, la vision qu'elle porte sur le monde. Mais je vous le répète et j'insiste : tout cela reste en mode léger !
Comme conseillé sur la couverture, vous pouvez lire ce recueil aux toilettes ou sur la banquette et je me permets de rajouter : en pédalo ou à dos de chameau. À vous de voir ! LOL (comme dirait Mary Neil's)